Les jeunes, faudrait les tuer avant qu'ils soient vieux.
Il y a deux sortes de vieux : ceux qui vous empêchent de vous aplatir l'arrière train dans le train et ceux qui refusent de mourir, ne serait-ce que socialement.
Les vieux ne sont plus vieux, ils sont d'anciens jeunes. Un ancien jeune est quelqu'un qui continue de courir en cycliste fluo mais moins vite (alors que vous autres jeunes, vous marchez). Car oui, les vieux dansent et chantent et vendent des albums de rock qui ne réjouissent qu'eux. Parce que non seulement ils ont merveilleusement profité de leur époque de plein emploi et d'effervescence intellectuelle, mais ils continuent de se dilater la ride à coup de plan retraite complémentaire pour se vautrer dans le plaisir jovial et bon enfant tandis que vous, les jeunes, vous n'aurez que dalle. Non, les vieux ne sont pas finis, nous dit-on, et ils "kiffent leur race" de vous le faire savoir quand vous, et bien vous, vous n'avez rien commencé ! Ah les mesquines petites bouches fripées qui chantent les Beatles pour vous rappeler ce bon vieux temps que vous ne connaîtrez jamais, vous qui ne pourrez même pas chanter Lady Gaga à l'heure d'une retraite que vous n'aurez pas.
Oui, ils ont été heureux. Et le bonheur, ça ne se partage pas.
Oh et puis fichtre ! Tous ces vieux qui vont au musée et font des visites guidées du patrimoine ! Après avoir passé une vie sans pensée ni profondeur dans un néant culturel banal, d'où leur vient-il l'idée qu'il faille passer son temps intelligemment, culturellement, légitimement ? Peuvent pas faire des puzzles non ?
jeudi 24 mars 2011
mardi 28 décembre 2010
Interesting people sauce Monet
Au Grand Palais on peut se rendre compte par un effet de réalité ultra augmentée du problème des retraites en France. On peut aussi se rendre compte que la culture est une affaire de vieux mais pas que. Certaines familles d'obédience bourgeoise tentent de vieillir prématurément leurs enfants en bas âge en les amenant regarder des peintures de Claude Monet. Ce qui n'a rien pour heurter la sensibilité.
"mmmm, ça va faire du bien un peu de culture !" (Dixit un enfant) Miam.
On dit qu'il est possible d'être cultivé sans être intelligent mais on se trompe. Les visiteurs d'expo sont intelligents et ils y tiennent ! Ils y tiennent pendant trois heures sous la neige parce que y a pas de culture sans souffrance car l'intelligent souffre sa vie entière. Ils priviligient d'ailleurs l'intelligence collective au mépris de l'intelligence individuelle ce qui prouve qu'ils en savent long sur le sujet ! En effet ils s'encastrent les uns aux autres dans des files d'attentes négligeant consciemment le vide tout à côté, car ils savent qu'un trou noir est soumis à une force gravitationnelle qui les déchirerait tout sec !
Ils posent beaucoup de questions, prouvant ainsi le doute qui les assaille, marque première du philosophe ! Ainsi lorsqu'un visiteur demande "ça veut dire quoi complet", il exige une réponse quant à la différence entre les propriétés du vide en physique et celles du plein.
Malins comme tout, ils préfèrent tout de go savoir de quelles réductions ils pourraient bénéficier car ils le savent : trop bon trop con !
Ils s'inquiètent bien entendu de pouvoir se restaurer car un esprit sain dans un corps sain. Pipi caca avant tout car le cerveau est soumis au trou de balle et ça, les gens le savent bien.
Après cela, on aura eu une jolie sortie sympa, convaincu de son choix qui était déjà bien conseillé par la presse et dont on s'était fait une bonne opinion. Les enfants n'auront pas regardé la télé et ne deviendront donc pas des abrutis.
Oh, on n'en sortira pas plus cultivé, ni plus sensible, ni plus rêveur, on se sera contenté d'un excellent loisir culturel en compagnie de 6000 autres personnes à avoir eu la même idée du bon goût d'antan. Mais l'intelligence des visiteurs s'arrête bien avant de s'en rendre compte.
"mmmm, ça va faire du bien un peu de culture !" (Dixit un enfant) Miam.
On dit qu'il est possible d'être cultivé sans être intelligent mais on se trompe. Les visiteurs d'expo sont intelligents et ils y tiennent ! Ils y tiennent pendant trois heures sous la neige parce que y a pas de culture sans souffrance car l'intelligent souffre sa vie entière. Ils priviligient d'ailleurs l'intelligence collective au mépris de l'intelligence individuelle ce qui prouve qu'ils en savent long sur le sujet ! En effet ils s'encastrent les uns aux autres dans des files d'attentes négligeant consciemment le vide tout à côté, car ils savent qu'un trou noir est soumis à une force gravitationnelle qui les déchirerait tout sec !
Ils posent beaucoup de questions, prouvant ainsi le doute qui les assaille, marque première du philosophe ! Ainsi lorsqu'un visiteur demande "ça veut dire quoi complet", il exige une réponse quant à la différence entre les propriétés du vide en physique et celles du plein.
Malins comme tout, ils préfèrent tout de go savoir de quelles réductions ils pourraient bénéficier car ils le savent : trop bon trop con !
Ils s'inquiètent bien entendu de pouvoir se restaurer car un esprit sain dans un corps sain. Pipi caca avant tout car le cerveau est soumis au trou de balle et ça, les gens le savent bien.
Après cela, on aura eu une jolie sortie sympa, convaincu de son choix qui était déjà bien conseillé par la presse et dont on s'était fait une bonne opinion. Les enfants n'auront pas regardé la télé et ne deviendront donc pas des abrutis.
Oh, on n'en sortira pas plus cultivé, ni plus sensible, ni plus rêveur, on se sera contenté d'un excellent loisir culturel en compagnie de 6000 autres personnes à avoir eu la même idée du bon goût d'antan. Mais l'intelligence des visiteurs s'arrête bien avant de s'en rendre compte.
samedi 6 novembre 2010
oh, i'm not that kind of girl !
La liberté féminine consiste souvent, dans les grandes villes, en la possibilité de parler de sexe entre pin'co et de faire des réunions godemichets en buvant du thé au jasmin. Il parait que dans le domaine, les filles sont plus crues que les garçons qui se contentent négligement de préciser le degré de bonté de la dernière partenaire (elle était super bonne/bonasse).
Elles en rajoutent même en dédaignant coquettement la taille du pénis et en fichant une honte incurable à l'éjaculateur précoce et à l'impuissant à qui ça n'arrive pourtant jamais, jamais, jamais !
C'est donc ça une société libre et sans tabous ! oui ! c'est quand une fille bien peignée peut dire bite et sperme sans choquer (à la télé je veux dire...)
Libre et sans tabou !
Essayons donc d'introduire une conversation anodine sur les ragnagnas. Déjà on remarque que le mot "règle" ou "menstrue" (cela dit ce dernier évoque vraiment une affaire de bovin), ne sont pratiquement jamais utilisés. Parler de la couleur du sang menstruel au fil des jours, de la texture et mieux, de l'odeur de crevettier, provoque forcément du dégoût. On n'en parle pas, c''est trop dégueulasse ! Avoir ses règles chaque mois, c'est dégueulasse. Etre une fille, c'est dégueulasse.
Alors à moins d'être une artiste ou une fêlée, on se contentera de parler sperme, c'est plus propre.
Cela dit entre la machine à caca et la fossilisation des étrons, il y a un bon filon pour l'accrochage en galerie des serviettes usagées. A quand l'expo BNF...
Elles en rajoutent même en dédaignant coquettement la taille du pénis et en fichant une honte incurable à l'éjaculateur précoce et à l'impuissant à qui ça n'arrive pourtant jamais, jamais, jamais !
C'est donc ça une société libre et sans tabous ! oui ! c'est quand une fille bien peignée peut dire bite et sperme sans choquer (à la télé je veux dire...)
Libre et sans tabou !
Essayons donc d'introduire une conversation anodine sur les ragnagnas. Déjà on remarque que le mot "règle" ou "menstrue" (cela dit ce dernier évoque vraiment une affaire de bovin), ne sont pratiquement jamais utilisés. Parler de la couleur du sang menstruel au fil des jours, de la texture et mieux, de l'odeur de crevettier, provoque forcément du dégoût. On n'en parle pas, c''est trop dégueulasse ! Avoir ses règles chaque mois, c'est dégueulasse. Etre une fille, c'est dégueulasse.
Alors à moins d'être une artiste ou une fêlée, on se contentera de parler sperme, c'est plus propre.
Cela dit entre la machine à caca et la fossilisation des étrons, il y a un bon filon pour l'accrochage en galerie des serviettes usagées. A quand l'expo BNF...
dimanche 17 janvier 2010
le temps des bâtisseurs
La vérité, rien que la vérité : il n'y a que cinq catégories de gens qui travaillent : les médecins, les professeurs en plein cours, les responsables de la sécurité dans l'exercice de leur fonction, les producteurs (agriculteurs, ouvriers), les caissières.
S'il n'y avait eu que ces choix professionnels le monde serait plus simple pour les écoliers en devenir. Par quelle perversité se fait-il que le gros du travail soit représenté par le secteur des services, je n'en sais fichtre rien.
Le spectaculaire, le phénoménal, le quasi indescriptible travail de bureau. L'unique, celui rend fou la moitié des quadragénaires en pleine crise du temps pésent. Celui là même qu'on accuse de n'avoir aucun sens, aucune vertue, celui là même dont le sujet fait de bons films de comédie. Hihi.
La vérité, rien que la vérité : on ne fout rien au bureau. Même à 35 heures, on parvient à ne rien foutre. Bizarrerie occidentale, tous les salariés ont l'impression d'avoir un boulot monstrueux, en toute sincérité, et ils en perdent parfois le sommeil parce qu'ils savent qu'il ne réussiront pas à boucler le dossier à temps. Cela dit tous les salairés passent un quart de la journée à arpenter des couloirs à moquette bleue pour faire des photocopies et discuter à la croisée des chemins, un autre quart à parler au téléphone avec les collègues à propos du CE et du rendez vous déjeuné tous ensemble à 13 heures, un quart à fumer, un quart à passer dans les bureaux des autres pour prendre des nouvelles du petit dernier, un quart à tapoter son dossier lorsque le directeur est de passage, un quart sur Internet. Et c'est la fin de la journée. Un ensemble de tâches à effectuer qu'on n'effectue pas.
Et si je parlais de mon supérieur ? De celui qui passe l'après midi dans les couloirs et au téléphone et qui à 16 heures, soit deux heures avant la fermeture, s'en va complètement lessivé en disant qu'il est trop fatigué, qu'il jette l'éponge ? Celui qui n'a pas le temps de faire trois bricoles le matin quand je ne suis pas là et qui me laisse le tout ? Celui qui passe son temps à dire qu'il est débordé ?
Je ne l'aime pas celui là. Vraiment, je ne l'aime pas du tout.
S'il n'y avait eu que ces choix professionnels le monde serait plus simple pour les écoliers en devenir. Par quelle perversité se fait-il que le gros du travail soit représenté par le secteur des services, je n'en sais fichtre rien.
Le spectaculaire, le phénoménal, le quasi indescriptible travail de bureau. L'unique, celui rend fou la moitié des quadragénaires en pleine crise du temps pésent. Celui là même qu'on accuse de n'avoir aucun sens, aucune vertue, celui là même dont le sujet fait de bons films de comédie. Hihi.
La vérité, rien que la vérité : on ne fout rien au bureau. Même à 35 heures, on parvient à ne rien foutre. Bizarrerie occidentale, tous les salariés ont l'impression d'avoir un boulot monstrueux, en toute sincérité, et ils en perdent parfois le sommeil parce qu'ils savent qu'il ne réussiront pas à boucler le dossier à temps. Cela dit tous les salairés passent un quart de la journée à arpenter des couloirs à moquette bleue pour faire des photocopies et discuter à la croisée des chemins, un autre quart à parler au téléphone avec les collègues à propos du CE et du rendez vous déjeuné tous ensemble à 13 heures, un quart à fumer, un quart à passer dans les bureaux des autres pour prendre des nouvelles du petit dernier, un quart à tapoter son dossier lorsque le directeur est de passage, un quart sur Internet. Et c'est la fin de la journée. Un ensemble de tâches à effectuer qu'on n'effectue pas.
Et si je parlais de mon supérieur ? De celui qui passe l'après midi dans les couloirs et au téléphone et qui à 16 heures, soit deux heures avant la fermeture, s'en va complètement lessivé en disant qu'il est trop fatigué, qu'il jette l'éponge ? Celui qui n'a pas le temps de faire trois bricoles le matin quand je ne suis pas là et qui me laisse le tout ? Celui qui passe son temps à dire qu'il est débordé ?
Je ne l'aime pas celui là. Vraiment, je ne l'aime pas du tout.
mardi 10 novembre 2009
Ex ducere
L’hôtel de ville est un chef d’œuvre de la période néo-classique du jour d’après. On peut remarquer sa bonne facture industrielle, notamment sur les côtés et entre les portes de la face Nord. On peut apercevoir, au creux des niches, les statues décoratives : ici Lucius Caïus qui rédigea les plans selon le caryotype d’Orange , et son neveu le Duc Saint Just de La Vega qui ordonna la construction par décret mental. Là et encore là, des chapiteaux corinthiens d’inspiration dogmatiques très chrétiennes, surmontant des fûts cannelés à l’origine palmyformes, mais rendus papyriformes pas suite d’une décision de justice qui dura près de trois ans. Beaucoup de Parisiens lettrés crièrent à l’injure fondamentale et manifestèrent dans un bain de sang républicain. Le Duc imposa le respect dans un discours présidentiel resté célèbre : « Vous ne savez pas ». Le drapeau français fut sorti et on pleura beaucoup pour le principe.
A l’arrière train on devine les vestiges post coloniaux d’un mastaba de la terre sainte. On suppose qu’il avait été ramené à la fin des croisades par le Chevalier Reynaud du Bourguemestre, afin de légitimer les prétentions du royaume de France à devenir la fille aînée de l’Eglise. Malheureusement, lorsque Dieu mourut, le mastaba tomba en désuétude et personne aujourd’hui n’y prête plus guère attention.
D’un point de vue industriel, l’Hôtel de ville est une réussite. Grâce aux nanotechnologies, on a pu réaliser un bâtiment de développement durable unique en son genre. Il représente le pouvoir politique en place et un certain idéal démocratique à forte valeur ajoutée. On peut d’ailleurs lire des inscriptions cunéiformes sur l’architrave principale au dessus de la Grande Porte : elles signifient « c'est pour la France, merci d'avance», comme d’évidence.
A l’arrière train on devine les vestiges post coloniaux d’un mastaba de la terre sainte. On suppose qu’il avait été ramené à la fin des croisades par le Chevalier Reynaud du Bourguemestre, afin de légitimer les prétentions du royaume de France à devenir la fille aînée de l’Eglise. Malheureusement, lorsque Dieu mourut, le mastaba tomba en désuétude et personne aujourd’hui n’y prête plus guère attention.
D’un point de vue industriel, l’Hôtel de ville est une réussite. Grâce aux nanotechnologies, on a pu réaliser un bâtiment de développement durable unique en son genre. Il représente le pouvoir politique en place et un certain idéal démocratique à forte valeur ajoutée. On peut d’ailleurs lire des inscriptions cunéiformes sur l’architrave principale au dessus de la Grande Porte : elles signifient « c'est pour la France, merci d'avance», comme d’évidence.
Depuis lors, cette maxime sert de jurisprudence.
samedi 31 octobre 2009
Comment l'esprit vient aux enfants
Métro ligne 3, arrêt Père Lachaise.
Un enfant : "Nous, on l'a pas perdu notre chaise !"
Merci d'être un enfant. C'est trop bon ça.
Un enfant : "Nous, on l'a pas perdu notre chaise !"
Merci d'être un enfant. C'est trop bon ça.
dimanche 25 octobre 2009
Le bon côté de la pauvreté
Paris est beau, belle, à tous les temps, à chaque regard surpris, sur tous les ponts.
Survivre à Paris avec moins de 750 euros par mois.
Se loger. Un loyer parisien payé, c'est un peu de désir d'aventure enterré. On découvre vite que le ballon d'eau chaude est trop petit, qu'on ne peut pas cuisiner à deux, que l'air est si humide que les vêtements ne sèchent pas et sentent le moisi, que toutes les prises électriques ne fonctionnent pas. Mais vous avez un toit sur la tête, c'est le bon côté.
Se nourrir. C'est très simple. A force de manger des pâtes vous n'aurez plus faim. Pratique et pas cher.
Se vêtir. Ne rien acheter, aller chez emmaüs pour faire face à l'hiver mais ne pas être trop difficile quant à votre allure. Vous ne sortez pas d'un clip de pop adolescente fluo, ni d'une publicité pour HM, mais bien du XX arrondissement.
Se divertir. Passer ses après midi à la BPI : c'est gratuit et dans la queue du ticket Internet vous verrez pleins de gens à peu près comme vous sauf que eux n'ont pas de ballon d'eau chaude du tout.
Vos horizons. Lutter contre le pole.emploi qui tente par des moyens peu subtils de vous radier, l'air de rien. Lutter contre la CAF qui avoue avoir traité votre dossier il y a un mois mais on n'en saura pas plus. Lutter pour savoir ce que vous avez fichu pour vous retrouver dans ce merdier.
Mais c'est encore le bon côté de la pauvreté. C'est un peu fatiguant mais on en meurt pas.
Survivre à Paris avec moins de 750 euros par mois.
Se loger. Un loyer parisien payé, c'est un peu de désir d'aventure enterré. On découvre vite que le ballon d'eau chaude est trop petit, qu'on ne peut pas cuisiner à deux, que l'air est si humide que les vêtements ne sèchent pas et sentent le moisi, que toutes les prises électriques ne fonctionnent pas. Mais vous avez un toit sur la tête, c'est le bon côté.
Se nourrir. C'est très simple. A force de manger des pâtes vous n'aurez plus faim. Pratique et pas cher.
Se vêtir. Ne rien acheter, aller chez emmaüs pour faire face à l'hiver mais ne pas être trop difficile quant à votre allure. Vous ne sortez pas d'un clip de pop adolescente fluo, ni d'une publicité pour HM, mais bien du XX arrondissement.
Se divertir. Passer ses après midi à la BPI : c'est gratuit et dans la queue du ticket Internet vous verrez pleins de gens à peu près comme vous sauf que eux n'ont pas de ballon d'eau chaude du tout.
Vos horizons. Lutter contre le pole.emploi qui tente par des moyens peu subtils de vous radier, l'air de rien. Lutter contre la CAF qui avoue avoir traité votre dossier il y a un mois mais on n'en saura pas plus. Lutter pour savoir ce que vous avez fichu pour vous retrouver dans ce merdier.
Mais c'est encore le bon côté de la pauvreté. C'est un peu fatiguant mais on en meurt pas.
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